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320 J,E PAYS IlASQUE. -Jincaizquitikhoustera -Ah! venezmC\'oir maconso!atcera, Et me wnsoler, Aitaren icbilic. A l'insu de mon pCre. Bogo! eta laur baditut bdheric J'ai vingt-quatre ans accomplis Urthe baten buruian: Nieetduketorduien Amaren aclmlic, Ailaren bcldurric, Daus unan: Je n'~urai plus 3Jors Ni sour:i de m~ mi::re, Ni crainte 1le mo11 pfre. i.'A?t!ANT CONSOLl~. Un amant éconduit et se déclarant consolé, tels sont le sujet et l'auteur de Ja chanson qu'on va lire, petit drame dialogué dont le fond n'a rien de bien neuf, il est \Tai, mais qui cst piquant par sa forme leste et dégagée. Dans le d.ernier couplet, le poete s'annoñce comme étant le personnage qui vient d'Ctre congédié : rien de plus commun, dans Ja poésie populairc, que de finir par des détails sur l'autem : Qui fit la chansonneLte? un noble aventurier, Ler¡uel est <le Grenol.Jlo, du lieu de Dauphiné, etc. ( Cliangons nouvellemenc composies sur divers chanu tant de musique que de ru&tique,etc. Paris, Bonfons, 1548, in-80.– Ya11.i:·dtH'ire d'Olivier nasselín, Car11, 1821, in-8°, p. 202. ) Celuy r¡ui fist Ceste jolye chanson (bis), Un cnisinier, Qui estoH <lo Lyon, Uuisinier en gallel'C, Et hallant l'aviron Tousjours on grand'misere, llélas ! tousjours en graml'miscre. (lbid., pag. 204.) Qui fit la chansonnette'? fut un gentil gallant, Venant de La llochelle; n'avoit pas cinr1 ccns francs, Pas tlix oscuz pom vivre. l\.n' qnoy, chanlons lrcstous, f'tc. (1bíd., p. 20G.)