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316 LE rHS RASQUE. Un amant, ébloui de la beauté de :;a Uancée, lui dit en la contem– plant: • Jeune fille, ma rose vcrmcille, quand tu t'es épanouie, sur qui a.vais-tu les yeux fixés? As-tu grandi en regardant le mélOze, ou en regardant le svcUe et haut sapin , ou bien en pensant a mon rrere le plus jeuue ·¡ o- «O mon hrlllant soleil 1je n'ai point grandi en re– gardant le méléze, ni en considérant le svelt.e et haut sa.pin, ni en songeant a ton rrere le plus jeune; mais j'ai grandi, ó mon fiancé ! les yeux fixés sur t.oi 1• n A~JOHOS IJA'l'l.;N GAlZl\ IAC, Arguia Uela tliOQU; Gau crdi oraino C<l du<;u. Enckilaco dembot·a luce icludtzen t;tail.\:u; Amodioric ez du~u, orai t;taitut ecagutu. Oflcialetan duQu, Qure sinhcste gucia. Aitac eta amac ere hala dutc guticia. Lelrnn bat eta oraí bcrtcea : oi, hau penaren tristia ! Othea lili Jencan, Choria harcn gainean; rtÉf:RIMI NATlONS .O.IOUREUSBS. 11 ost jour, ditc.s-vous; n n'est pas cucore minuit. Le temps que vous passez avec moi vou.s paraiL long; Vous n'avez pas d'amour, maintenant jevous counaü;. C'cst dans les artisans Qnc vous avez mi:; votrc confiance. Vos pCrc et mere out aussi te meme désir. Tantót l'un, tantót l'aut.1·e: o!J ! 'Ilte c'est triste! Lorsr[lie l'ajonc est en tlem, I.es oiseaux se posent des.sus; 1Chanson du rceucil de Vuk Stcpbanovilch, lrai.luile par M. Cy11ricn llobcrt. { ncvue desDeiix·MQitdes, 185S, 11. 1171.)

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