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Ez duc sorthu ni haicic. Erran gahe adio eni, Phartilu hiz herrili : r.o MA NCES. JI n'cst point d'autrc né c¡ue moi. Sans me dire aucun adieu, Tu as quittó le pays : 313 Harc dilac hethi nigarra. Depuis lors, je suis toujours dans les [!armes. L'AMANT SUl'l'LUNT ET REl'OUSSÉ. Je ne puis rien dire sur cettc piece, si ce n'est fo.ire remarquer le nom d'étoile donné par l'amant 1i la maitresse qu'il appellc daus la nuit. De memo Aucassin, U. larecherche de Nicolctte, la compare it l'un de ces astros : e: Et il garda parmi un trau de le logc, si vit les estoiles el ciel, s'en i vit une plus clero des autres, si conmeu~a U, dire : Estoilete, je te voi Que la !une trait a soi; Nicolete est avec toi, M'amiete o les blont poil. Je quid que Dix le veut avoir, cte. ( C'tsl d'Aucasin ti de Nicolete, pnmi les NOU'1tfüs fronfOists tn prose du Xlllº siicle, p. 285.) Cette comparaison d'une maitresse avec une étoile, dont je ne connais pas d'autre exemple dans notre ancienne littérature, est un des lieu~ communs de la poésie basque; on la retrouve dans une aubade publiée en has navarrais et en fran~ais par M. Cénac Moncaut 1. UIOROSA OTHOlTZll.E ETA GUIDELATU.~. (Suborot~rr•.) Gabaz illmn euria dcnian , Ilai et.a illnm curia denian. L 0 AM.\NT SUPPLL\NT ET REPOUsst:. (D!alect.1ouletln.) La nuit. est. sombre quancl il pleut, Oui, et bi('n sombre par la pluio. 1 llistoire des Pyrtn~cs, etc., t. V, p. 325.

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