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UOi\lANCES. :-5ei urthe complitcen ditu cinitmlala maitatu; Hama!Jortz urthe ez nituen, zuc hamazazpi complitu. Guerosüc hunat amodioac zure esclabo egc:ún nu. Ez da esclabot.asuuic nerea pnsatcen duenic. Amodioa etorl'i r.ait zuri be:r.ala goizdanic; Mundu hunt:m ez dut izanen zu baicen he1·ce mailc1fo. 11.1.Ñ~. Urhe crreztun bat badut nic zure escutic izanic; Hura nigart·ez mainhatu gabe ez dut pasatcen cgunic. Mundu huntan ez dut izanen hertce consolagarriric. Nic Jmlinbanu ahalie, airean joateco hegalic, Mnitearengana joan nindaite, ixasoarcn gainetic; Haren bi besoen erdira artio, nic ez baituket pausul'ic. Ixasoaren erdian, ora memento gucian, Zure othoitcen behar naiteke, elementaren azpian, Maluric gabe arriba nadin snlbamenduco p01·tuan. 311 aurai perdu, je resterai en ¡Jroie aux chagt·ins, Utuus les maux; je dessécherai sous leur souflle aride. Il y a six printcmps que je vous airnai; alors encore je n'avais pas quinze ans, a peine en aviez-vous dix-sept. Des ce jour l'amour me flt votre esclave. ll n'est point d'esclavage aussi poignant que celui quo j'endure. Comme vous, j'aimai dés ma tendre jeunesse, et vous seule, en ce monde, screz l'objet de mon amour. Je porte a mon doigt un anneau d'or que je re¡¡us de vous; chaquc jour, jo Je baigne de mes !arme.;. Vous seul, en ce monde, pourrez me console1'. Ah! s'il m'était donné de fendre l'air comme l'hirondellc, je m'é– lancerais au-dessus des mers, vers ma bien·aimée; i\ n'y aurait pour moi aucun repos que je ne l'eussc serrée dans mes bras. Quand sur la mer, au sein de la tempete furicuse, le danger me pressera a toute henre' a tout instant du jour, ah! prie:r.' pdez' afin que je puisse atteindre saín et sauf le port du salut.

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