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310 LE l'AfS BASQUE. éprouver au moment de leur séparatiou, il imagina une derni6re cntrcvuc qui n'avait pas eu lieu , et compasa un dialogue répandu aujourd'hui dans tout le Pays Basque. ,Si l'on fait attentiou U. la grflce et au pathétique qui rCgnent dans cette petite scene, on vcrra qu'elle n'est point indigne d'un pareil honneur. .Je l'ai empruntée 11. un articlc de M. J. Duvoisin sur le jcu de paume, inséré dans l'Albmn pyrénéen 1 • S'il faut cu croirc l'écrivain, l'auteur des vers qui suivent était un certain Christoval d'Oyhanto, poetc en rcnom dans son pays. Jls uc sernicnt pas plus vicux que 1830. BEREZCUNZA. (Baa& D&f&rt&rt&.) Orai hasten naiz cantatcen, nere penen declaraleen. Eztitasunez hethe lili bat aspaldi dut acloro.tccn; Harenganican urruntceaz bil10tza zait erdiratceu. Adios, aere maitea, nere penen ithurria. Zureganican urruntcea, iduritcen zait hiltcia. Behin-bethicotzat jincn nuzu, galtcen ez badu( !Jicia. Cer derautazu erraiten 'I Oral nauzula kitatct•n 't Kgunac urthe hluritcen zaizkit, nun etcitudan ikhuslen. 7.u galduzgueroz gueldituren naiz, pena changrinei iharlcen. l.A SÉl'Al\ATJON. J'cntonne un chant, c'ei;t le chant de mes douleurs. Uepuis long– lemps j'ui consacni mon amom· á la plus douce des lleur¡;, et main– tenant mon co 1 ur se hrise en s'óloignant d'elle. Allicu, amante chérie, fontaine de mes douleurs. M'éloigner de vous m'est aussi cruel que de mourir; rnais un jour, si je ne penls pas la vio, je reviendrai prOs de voui;, et ce sera pour jamais. Oh! que medites-vous? Que vous allez me quitter? Les jours que je ne vous vois pas me sont longs comme des années. Quaml je vous '2"' 0 annCc. Pau, impr. et lilho1>r. de É. Vignancour, ·1841, in-8°, p, 3.t:S, 3.u.

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