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308 l.E l'AYS l\ASQU E. ~e11rc ¡1enac liarierraiten, 1IJ lui dis mes ¡icincs, r.war:iinoe-uian du•lan soíritccn; fosqu'~ ciuel poln~je soufl're; Cim•ro h~rcc b~inn eon"°laccell. c~r e11sul1c elle me eonsolc 1. - Ene m:iitia, or:i.i nie - Mon 3iml!, maintcnant moi Nahi uukcjakin t;oure ganie J~ vourlrais savo!r de vous Cercn cerabitun orela tristatude. Cll qui rnus lienl ainsl allrislé. Zure so citiac oro g~ldJrie, Ayant pcrdu tous vos dou1 resards, Ala ba•luzun beldurcunduric, Auricz-vous peut-~lre l'appréhensiun MaHalia dudan 7.Uln bcsteric? Qucj'aimerais un autre quc vous? - lfalimbana;o trislcrie, - Si me vnifü en lristesse, Ez niagozu arrazoiíl ga~crie. Je n'y suis pas sans molif. J.urri~n sathorra biciric; I.:i taupc [J<!Ut Yirre sous la terrc; Bern eer eguincn (]er~ut placcric, M~ls moi, qucllc chosc pourrait me plairc , Galdu7. gueroitiran blslalic Depuis que je n'ai ph1s sous tes yeui Maitc b.lt wiuacezbaiiu parerlc! Une ;1imée í¡ui n'a pas s;i. p3reillc? Arr11s;1c cdcr ostua, La rose a une bcllc fcullle, Lurrarcu barni~n 1111 errna ; Et sa racinc cst bit"n a1ant clan$ la tcrre¡ Us:iiH~ gocho iutu~~atic, Mais m~!¡:ril Ja duuceur de son 11arfum , !\lud~lzcn da gaicbuJ. La pauvrettc eol éphémCre. Jeudiac ere nahi ~rrcn~:;atic, lllati;rC !es olircs tlu monde, Nir. zourctala:nOllioa. ltloipourvous(j'aurai toujoursdela)ten1lresse. LE REF US. La piece suivaute, clont M. Chnho a donné J'analyse et des cxl-raits 1, rctracc un épisolle tl'umour; ou y voit un prétcndant éconduit par sa. Lclle. Le rossignol dont il y cst c¡uestion est pro– LaLlement uu po0tc devillage, dont le jcuue hominc s'étnit pourvu pour plaider sa cause aupres de l'oLjet aimé et la gagncr par le clumne des vers. ERRl>IIUSA. ('"'"°""'·) Chori, crresiñoula, HoLs, emac eneki Afailiarcn ctcliera LE REFUS. Oiseau, rossignol, Allons, viens avec moi A la maison de mon aimt•c ' Sl'lllS·entcridu, par le tlisca11t'I ~11ivo11l. ' l'11,1ve e11 Ntwarrt, etr., rhap. IX, ¡i. 3t;G·5:".S.