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aoo LE l'AYS &..l.SQUE. {SubO"rot.trra.) CaiHa cantuz oguipetic m;taril' agorrilel.an ; Mait.iaganic etcheracuan ourchen cntr;un dut ho:;Let.au. Amadioac ninderahilan, maitia, c;ure bortlla leihuotan. Amodioa, amodio nahi duicnac bar tliro. Nic batentc;at hartu dnt ota sociilan ez dnt utcico, Ez seculan, tombaren barno sarthu artino. Coucouiac umiac chilho clüpian harit¡;arcn gainian. Ama, nic ere nahi czcondn adinac ditudanian. Ene lagunac cguinac dire juan den aspaldi hamlian. Primaderian c;oin den eder brioninaren loria ! Aspaldian ez clut ikhousi nelll'e maitiaren beguia; Balinlm gaiclma Ol'hoit ahalda niri eman cautan fedia. - Orhoitcen nrn;.u, or\loitcen, ez c;autagu ahanzten. ~fagdalena batecbe.c;an hat munduian dut sofrilccn, Jaten dudan oguia ere nigarrez clut trempatcen. COLLOQUE HIOUll.EUX. (DialGCt~ sou\~tin.) La caillc chantait en jniUct et en aoút llans les champs U.e froment; Lorsque je rctournais ccttc année de chez mon amic, je l'ai entenduc r avec plaisir cinq fois. L'amonr me puussait, amic, vcrs YOtre porte et votre croisée. L'amour qui veut avoir de l"amour pcut en a\"Uir 1• Je me sub épris d'amour pom unejeune tille, jamaisje ne la quitterai, Non, jamais, jusqu'i ce queje descende dans la tomlle. J.c coucou met ses petit3 dans un petit tl'ou sur la cime du ch0nc. Mére, je vcux aussi me marier quand j'aurai l'áge. Mes camarades sont mari_és il y a déjU longtemps. Que la lleur de la violette est belle au printcmps ! ll y a longtemps que je n'ai vu l'mil de ma bonne amia; Pent-etrc la pauvre se soLnrient-elle de la foi qu'elle m'a jurée. - Je m'en souviens, oui, je m'en som,iens, je ne l'ai point oublié. .Je souffre dans le monde autant qu'une Madeleine peut soufl'rir, .Je mouille de mes larmes méme le pain que je mange. 1 LcS&J"despro1·er1Jesrceucillis¡iar OiheuarLesl aiusieon(.U: Mait;1zcacrnaitazcdu hai·zc. ( L'amourscpaicparl'~rnour.)

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