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298 LJ:: i'AYS t!SQUE. Jducazu fedia, Murnlian pare gahia. - Bchar g:hira bC'iratu, Zcin gurc bidcr scg:hitu. Zure eta ene izailia Jincouac oro acabatu. Adioz bcraz, harkhatu. surlout soyez fidele, amant parfait et sam; rival au monde. - Faisons attention a nos dé· marches, suivons chacun nos sen– tiers. C'est Dieu qni a permis ma deslinóe et la vótrc. Tout m;t dit, ici doit finir notrc entrctien.Adie11, ma belle, parclonnez-moi. sfmf:NADE, Pour Ctrc l'ccuvrc de l'un des gentilshommes les plus qualifiés du Pays Basque, la sérénalle que l'on va Jire n'cn est pa.s moins populaire : la place qu'elle occupc ici n'est done point usurpée. Sans doutc cettc pikce appartieut a la poésic d'art; mais il sullit de la comparer avcc nombre d'autrcs qui figw-cnt <laus notrc rccueil, pour voir qu'elle est tout-li.-fait dans le goilt du peuplc pour lequcl elle a été composée, et pour s'expliquer son suecCs. GAllAZCO IJAN1'UA. ( B.aa 11&fart~rra.) Ent~ izar maitca, Ene charmagarria, Ichilic zure ikhustera Jiten nitr.auzu leihora. ColJlatccn dudalaric, Zaudc lokharturic; Gabazco ametxa bezala, Ene caniua zautzula. Zuc cz nuzu f:zagutcen, llori ere zaut gaitzitzen; Ez duzu ene bchatTic, .Ez eta acholaric. Hil cdo hici nadin, ::;f;nENAllE. ,... ..........¡ Mon ótoile aimée, Vou::;, enchanLcn~ssc, En silence pour vous vuir Je viens sous votrc fcn&trc. Pendant que je chante, Res tez endormie; Parcil ¡\ l'astre des nuits, Que mon chant soiL doux pou1· mus. Vous, vous ne me connaisser. pas, Cela aussi me peine; Vous n'avez de moi aucun bcsoin Ni aucun souci. Que je mcure ou r1uc je vive,