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ROMANCES. :'W7 - Zuc hezainbat phcna seguric, - Croycz-moi, assuróment mon Siuhets tiei',azu , badu nic. chagrin égalc le vütre. ll ne nous Guc alkhar maite izanagatic, sert de ricu de nous aimcr mutuel- Zcr pro!Jeclm du hargatic; lement;· nous avons d'autrcs mai- Dadugu bcrtze nausiric tres auxquels nous devons l'ohéis- Guc obeditu heharric. sanee. - Oihanian eder arllola, :\'i enaiteke consola. Bihotzctic echa1 ·zondi7.ut . Nig:arrat·ekin odola. Ni ez naitake consola : Hi!ic ere e;1,dut. achola. - .)aunaren g:raziarekin, Orai hadugu zer eghi11, llihotzetic crraiten dauzut, Pheua handi batckin : Espousatzecoz zurekin, Samurra niz ene iendekin. - Arnodio berria, Hainitz da trumpagarria ! Zuregatic nlzi izandut Nic leheneco mailia; Orai orotaz gabia, Desiratcen dut hilzia. - Ene maitia, zu ere Etzitela hasarre; l~ghia da eman nauzula Neure Luriaz bai fede : Phcna dut eta dolore Ezin bertze eghin halere. - lzanagatic mundit1 Gutaz embrasatia, F.zda cumbeni eri dakizun Hort.az ezpiritua. 1 ndazu sendimenduia, Dalin hazira fermia. - Urzoa o eztia! Mlntza:.r.ale ederral Gu algarrekin acort baghira, Nic ezdut Lertzez aehola. - L'arbre est beau daos la forét ; moi , je suis incon::;olablc. Mon cceur cst meurtri, mon sang coule avec mes !armes. . Te n'aurai~ aucun regrct de mouriJ·. - G1·<lce an ciel , maint.ewrnt. nous avons assez r¡ue faire. Hélas ! je vous le dis du coour, avec un chagrin amcr : s'il faut que je vous épouse, je suis brouillée avcc mes gens (ma famille). - Amour nouveau , amoul' per– fide et trompeurl Pour vous j'ai r¡uitté ma fiancée d'a1tlrefois; main– tenant.que j'ai tout perdu, j'appelle la more. - Mon bien-aimé, vous aussi 1l"allez pas vous tourner contre moi. ll est vrai que je v'ous avais donné ma foi, sur ma tete. Hien n'égalc ma peine, ma douleur. Malgrócela, je ne puis faire autrement. - Quoiquc le monde s'occupe de nous et nous contrarie, il ne faut pas ccpendant que votre ame en soit maladc a ce point. Confirmez-moi sculemcnt. votrc amour; répondez– moi de votre fermeté. - Ramier plein de douccm·, ó \'Ous qui parlez si bien! si nous sommcs bien d'acc9rd, vous et moi, je n'ai peur de pcri;onne.Vuw;

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