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296 LI:; l'AYS C.\SQUE. caprice des chanteurs, les exigences du rhythmc et de la mesure, la voguc r¡ui promenc toutes les improvisations d'unc province ¡~ l'autre, ont pour effet de meler les 1\ialectes : aussi la romance d'aujourd'hui cst loin d'étrc irréprochable sous le rapport dn textc ; mais nous défions que, dans toute l'Europe 1 on nous trouve, parmi les poésies populaires, les chants des p:iysans, une pikcc qui lui soit comparable, pour la noble simplicité, la vérité des seutimcnts et des transitions, et le rcspect profond rlu dcvoir 1• » .\MQDIOA E'l'A DE\'OlIU\A. J.:antorebat bcrriric Aphirilan emanic. Tristeziac harturic nago Bihotzaren erditic; Urzo churibat galduric, Beguia nago ilhunic. Urzo churi ederra, Hatxa douakec behera. Jiten nitzauzu nere phcnen Zuri dcclaratzera. Zu zira ene barbera : Har nezazu sentlatzcra. - Sinhets nezazu fedian , Erraiten dauzudanian Zu baizican bertze maiteric Nic eztutlala mundian; Zcr probechu ordian ·1 Er. dute nahi ctchian. - Etchccoucn contra jouaitia Ez nuko nahi, maitia. Etúnukcia nahi oraino Hobeki informatzia, Hurruntlaiüc jakitia Zer duten borondatia'? ' ..tri~I, n" rlu 27 avdl 1845. .\W)Uil BT DEVOlll, CcLtc chanson nouvellc a élé clonnée en avril. Je suis pri:> de tristessc pa1· le foml du cccur. Mon mil est triste et soml.Jre, car j'ai perdn de vue ma hlanche colombc. Jlcllc colombe hlanche, je sonpirc pom· vous, je me mem·s. Je viens vous révéler mes peines. Vous Ctes man médecin : prenez-moi pour me guérir. - Croyc1. - en mon sl'rment, r¡uand je vous le rópütc, que je n'ai dans ce montle aucun nutt'o bien- aimC que vous ; mai:> r¡ucl profü? on s'y 0ppo:-;e dans notro maison. - Je ne vourlrais point, ma bion-aiméo, combattre le vreu des parents. Ne vou<lriez-vous point ancoro les sontler lle nouveau, re· cherchar adt'Oitcmcnt de loin lJUellc cst leur volonté '/

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