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Bestec he110 hobequi liare beitu cantatcen : Harec du in~natcen, Mundia lmi troumpat.cen. Ber'eztut ikhousLen , llai bot{:a cntzulen. Botz aren ent\tllfi nahiz, Enaturic nago, Ni ari uillant, eta Oura urrunago. Jarraiqui ninkirio Bicia gal artiho; Aspaldi andian, Dcsir hori nian. 'fchoria c;onien eigc1· Cantuz oihenian ! Nihaurec P.Utftull dic¡ut Tgaran gaian. Eia gouacen, mailia, Dibiac ikhoustera; Eu~uten baduc;u, Charmaturen <¡utu. Amac utzi nindizun lledatz azkenian : Ghcl'Osti nallilazu llcgalcz airian. Gaiak aurthiki nindizun Sasiilobatetara; Bo.n zuzun tchedcra, Oi ene malhm·1·<\l Dortiac churi dira EUmr dicnian ; Sasiac ere ulhun Osto dienian. Ala ni malerusal Cerenhan sa1'lhu nint.ran ·? .louan banintz aintcin;, Rscapatcen nintc;au. Tchotfa, c,:aud'ichilic, Ez eg:uin nigarric. Cer profcitu tlnke9u ROMANCES. 289 les autres. C'est \ui qui séduitet enchante le monde. Je ne le vois.point lui-méme; mais j'entencls sa douce voix. " Pour vouloir entemke cette voix, je suis el'rant. rlus je crois m'cn approcher, plm; elle s'éloigne. Je la snivrais ainsi jusqu'<'t perdrc la Yif'. Ucpnis bien long– temps c'est le dé8ir que j'a, 1 ais. Coml>icn est joli l'oiscau 'tui cltttnlc dam; la forl!l! :\loi-mt>mc je l'ai ~nLendu la nuit Llcrniere. Allons, ma hicn-aiméc, allons le voir toiu; les clem;; si 'iOllS l'entemlez, son chantvous ra,•ira. Ma mere m'avait quiltée :\ la fin tlu printemps: depnis Ion; je pla11c en libcrlti sur mes propres ailes. La n11it. m'a\'ait. jelke an scin U'un l1etit boHJnét. ·u. se tromail un piégo el mon malhcur. Les rnontagnes sont blanches quand la ncige les couvre; les buissons ont une umilre épaisse qnarnl Hs ont. leul' \'Crrhu·e. Inforlunéc queje i;uisl ponn11ioi 1H~1is-je entréC' sous leur feuillage'I Si j'avais passé en avant, je m'échappais. Oisean, garU.ez le silence, ne \'erscz plus de !armes. Quel profit anre7.·\'ous 11.e vons llésolcr ainsi? C'est moi qui, aprP.s 19

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