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270 LE rus BASQUE. Des nomLreuses chansons composées sur les Cagots, je n'eu connais qu'unc scule en busque. C'est un dialogue en dialccte souletin, recucilli de la bouche d'un octogénaire , qui affirmait l'avoir appris des sa plus teudre cnfance et ne l'avoir pas entendu chanter depuis plus d'un demi-siecle. Suivant une autrc version, l'autcur scrait un coólacari d'Aussurucq, mort en 1845, a l'ágc de quatre-vingts ans, et qui en avait <lix-huit quaml il composa cett.e piece : elle serajt par conséquent de 1803. Ce qu'il y a de súr, c'est ciu'elle n'est pas sans méritc i aussi n'hésité-je point it la reproduire ici. ACOTA. AAt;AINA. Argui ascorian ginic ene arresekila, nethi beha ent~un nahiz nounbaitic lfOurc llot~a. Ar1li:ic nonn utci tu~.u 1 Cerentaco errada Nigarrez ikhousten dei¡;ut ¡;oure begui el1crra? Ene aitarcn ichilic gin nw;u gourcgana, Bihol¡;a erUiaturic, cihauri eraitera Cambialu deit.adela ardicn alhaguia, Scculncol. dcfcnUatu ~'.Oureki min~atcia. LE CAGOT. ( Bll'l,UO tOllltUn. J Des l'aubc dn jour, (je snis) arrivé avcc mon troupcan, Toujoms écoutant, dúsirantcnlemlrc Uc quelquc cót.évoLre voix. Oü avez-vous laissé les brehii,:? D'oü vient Que je vois votrc bel ccil plcin de larmes? U. BF.RG ~RE. A l'insu de mon pCrc je suis venue vers vous, Le cU'm· brisé de r.lonleur, pour vous dirc ¡\ vons·mt'!me Qu'il m'a changó le plituragc U.e mes llrebis, DHcmlu pour jamais tic pal'lcr avec vou!i.

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