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CllANSONS POLITIQ'CES. 259 Artua ere arida Igozten poliki; Dirna escutal.zen da Egnnero mnendic. :L'iola viei garen bada, Arritutzen naiz ni. Uost urthc badijtrn7. Ta nekian bethi. Ya, bear ditugu Beguiac idiki. Carlistac Ebros gora Motel ta guchi; A! ajen esperantzetan Ez gaitezen vici. Aimbeste odol iclmrl.7.e, Ez da doloria? U da provinci autan Gast.ien loria. Patria defenditzean Litzake honoria; Anaya anayen contra, Chit gauc;a tristia ! Oraiñ sei eun urthe, Guchi gora bera, Gazteluco reinura Unituac guera, Gaztelan cein burudan Ura guc artcera, Ft:ieroac gordez kero, Eguintzan paperan. Disputarican bada Ceiflentzat corua, Erabaki bcar da Gaztelan pleitua. Erregue do erreguii1a, Gure derechua; Beti gorde digula Garbiro fuerua. Ccrtan zartu guerrara, .Tuez iilorentzat? Le mal"s aussi commence Aenchérir joliment; L'argent devient De jom; en jour plus rnre. Comment nou,; vivons, Voilá ce qui m'étonne. 11 y a cinq années Que nous vivons avec peine. füentót. il est temps Que nous ouv1·ions les yeux. Les Carlistes au-del;l de l'Ebre (Sont) muets et en petit nombre; Dans l'espoir de lcUI' réussilc Ne ,,ivons paH. Tant de sang répandu, N'est-ce pas dou\oureux? Marte est danH cette province La fleur tle la jeunesse. Défendre la patrie Serait un grand honneur; Mais frére contre frOrc, Que c'cst triste 1 11 y a six cents ans, Peu en plus ou en moins, Autour du ch<ltean Nous nous étions réunis (Pour y dire) de quel\e fac;on Nous entendions la chose, Quepuisqueles fu erosé ta ien t convenus, Jl fallait les met.tre sur le papier. S'il y a des disputes {Pour savoir) U qui sera Ja com·onnP, 11 faut fairc trancher Au ch;lteau le procCs. Le roi ou la reine , Notre droit; Nous avons observé toujonrs Notre fuero. Ponrquoi cntrm· 11ans la g-nf't'!'e, Si pcrsonne n'en cst jugc?