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'l5G f, F: I' ~ YS ll ASQ U F.• .lmm crrctorac hori ikhusi on.luco, Oihu eghin ziotcn bakcn r.gbiteco. "Zuc,Johanncs, eda1.azu, zucere,Domingo, Ene escuetaric cembnit arno trago. Dibe nacioneal eghizu, zuc, Pello; Egun haserraLceac deus ez du ba.lio. " Ghizon eta emazte, dugun oroc cdan, Dasoa trinkatl.Jric; umore onean Zoazte elkarrekin guciac lwkcan. • Uesta akhabatn zen hola arratxcan. Dans le mQment oU monsicu1· le curé s'apcrrut de cClfa , Riles :tvaient appclé pour que hLpaix se fit. ~ \'Oui;, .lrmn, bt1\'Cr., vous aussi, Dominique, {Acceptcz} lle ma main qneh¡ucs coups de ,•in. Vive la nation ! f'nites ce cri , vous, Pier;e; Aujourd'hui se meltre en colére ne vaut rien. ~ Hommes et femmes, nous devons tous boire, En choquant nos yerres; lle bonne lmmet11· A \lcz ensemble tous en paix. B La ret.e s'était terminec ainsi le soir. CHANSONS OH MUÑAGOílRI. Qu' éta.it ce Muñn.gorri? M. .J. Duvoisin, de Saint-Jean-de-Lm:, a bien Youlu me l'apprcndre dans une lett.rc1lo11t j'cxtrais le passage suivant : « .J'ai vu ce singulier pcrsonnagc sans beaucoup le con– naitrc. 11 était notaire etdeTolosa, autantqucjc¡misme lerappcler. Pauvrc rCvcur ou ambiticux vulgaire, il se crut capa.Lle.de lcver l'étcntlan_l des fueros, sans aucun rnoycn de se soutenir et sans autorité pour se faire suivre. La seulc chosc qui étonna, c'est que le gouvernemeut christino et ses alliés ar: .. mgcrs furcut. les dupcs de cctavent.urier. On lui confia uue fortc sommc ( 011 dit un milliou). JI

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