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CHANTS JIJS1'0RIQUES. Acc anii:, ta liu gutchi-taia, Azqucn indugu Lalboa. Ghcurc lurrean Ta aen errian Bil'Och ain ha.ten Zamoa• .t.:cin gheya¡;o. Tiber Jecua Gucldico zabal. Uchiu t.amalo Grandojo. (llli<ible.) Handi a1·ichac Ghesto sindoo.z Bel.higo naia2 Nardo..'1. (Mais) cm: (s.ont) nombrcux, et Nous (sommes uno)potitc troupe, A la fin nous avons füit. Amitié. Dan:; notre tcrro Et dans leur pays (II y a) uno maniere de lier Les fardcaux. Davantage (ét.ait) impussible. La ville du Tibre !leste ótenduc. Uchin••. (Est) grand. ( .. .. . ) Des grands chénco La force s'use Au grimpcr pcrpétuel Du pie. LE CHAN'l' D'ALTAHISCAH. 233 La défaitc de l'arriCre-gardc de Charlema.gnc a Roncevaux, et la mort lle Jloland, d'Olivier et des autres pairs ele France, furent pour le moyen ftgc ce <¡uc le siégc de Troic avait été pour l'au– tir¡nité, une sourcc féconde de chantsépiqucs 1 .J.,e plus remar<¡uable ' Le p~ssage suiunt, choisi entre mi!le, suffit pour donncr une idée de fa po1>uluitC dont jouissaicnt&hcz nous leschantsdont Roland et son cornpagnon Oli'Yier étalcnt les héros, Les jongleurs,11itun trouv!!re, Parces quareles l"ont chantant Et d.Olivier etdc Rolant Et dcsdeduisetdesamors Et desproesees de plusors. (llistoircsainte cnvers, Ms. dela Biltl. imp.n°11s1-s, fo!.210rccto.} AMilan, on ebantait de miimcles bauts falts de nos deux paladins : ~ Histriones canta– banr,slcut mGdn ~n13111r de Rolando et Ollvcrio. • (Antiquitatee Ttalica: medil ie~i, 1. 11,

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