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188 LE l' AfS IUSQUE. gcnt la proic dans la proport.iou <les ¡lards Jancés, dw.cun d'cux éiaut rcconnaissablc a des mar(1ues particuliCrcs qui y sont gravécs 1• > L'autcur que nous vcnous de citcr ne parle que des baleiucs qui vcnaieut s'offrir comme d'cllcs-mCmcs aux coups des habitants de Capbrcton , de Biarritz et de Saint-.Jcan-dc-Luz; mais il cst certa.in que d'autrcs Basqucs cucore se livraicnt a cettc püchc , et ne s'cn teuaieut pus aux cótcs. Clcirac, qui fixe apres l'équinoxc tlc :,cptcmLrc le passage du cétacée Sur celles de Guienue et de Biarritz , nonune , avcc les pCcheurs de Capbreton et <lu vieux Boucau, • les Basqucs de Biarri, Gattari, Sainct Jcan de Luz et Cibonrc, et autrcs pescheurs de Guycnnc, lcsquels vont hanli– mcnt, et par graud adrcsse, harpouner et blesscr a mort les balcucs en plai11e mcr 2• » 11 ajoutc : • Les grands profits, et la facilité qu,c les habitans de Capbertou prez Bayonne, et les Basqnes de Guyenne out trouvé a la peseherie des balcncs, ont scn·i ele iCUl'l'C et (l'amorce U les remire hazardeux U CC poiut 1 <[UC d'cll fairc la qucstc sur l'Occau, par les longitudes et les latitudes du motulc. A ccst elfet ils out cy·dcvant équippé des navircs, pour chcrchcr le rcpairc onlinaire de ces monstrcs. De sortc r1uc snivaut ectte rout.e, ils ont dcscouvert cent ans avant les uavigatious de Christ.ophle ColomL, le gnuHl et petit Lauc des mornes, les tenes de Tcrre·1tcufve, de Capberton et Baccalcos (qui cst a dirc morue en lcur langagc), le Canrtda ou nouvdlc France 3, oú c'cst que les mcrs sout ahondantes et foisounent en balones. Et si les ' Gulielmi Roudelr.tii... libri de pi.tcibus 111arini1, cte. l.ugtluni, ~pud ~latthi~m llunhomrnc, M.ll.LIUI., in.folio, lib. XVI, cap. XI, p. 480, 481. 1 1!8 el eons/umes de la 11ur, etc, édit. de 1661, p. UO, Ut, t.\.7. Clcirac rcmar•1ue 1¡uc ces ¡ti'chcurs ne payaicnt :1ucun 1lroit pour amcncr el dCpccer teurs pri~cs )1 tcrrc; i!s se liornaienl ¡, donncr ~ l'é¡;!isc les l:rni;ucs des baleincs et b:i!cinons, mcts ron csti111é autre– fois. - Plus Join,p.4-17, lrnitant 1!e !adistribulioudcs proflts auxvoyagcsdcsBasqucs 1lansleNordpour la~chcdeccpoissonct cellcdcsmorues,ilfaitobscr\·erquel'amiral ne re~oit ancune pul de la prhe. • Pierre de l'Anul!tlfclare avoir entcndu tlirc que! 1le tout tcmp~ les Bas.¡ues trafiquaicnl dans ce pays, • si bien que les Canadoi; ne traictolcnt ¡rnmy les t<'r;in~ois en ~otre langue qu'en celleilesllasques. • (Tabl.de l'ineonsl. deimautt. anoea, c11:., liv. l, p. 30,31.)– Dansuncurlcux documcnt llcs archives de la mairie deSaint.Jean -dc-1.uz Nde la préfeeturc des Basses-Pyrénécs, cité par mi. E.·M. ~·ran~ai.; Saint-M~ur {Coup d'a:il sur Sainl-Jn111- de-l.u et ses arehivu , en 1850. Pau, imprimcrie de E. Vignancour, 1851, in-18, p. ,-,;;, nG 31) et par M. 1.&once Goyctchc ( Saint-Jean-de-lu: historique et pilloruqHe, ctr. B~yonnc, Hl5G, in·l2, p. U3, en note), on lit: . DiJs le 11remier tcms au11ucl IL'S Bas11ur~ [a!soient la p~cherie des baleines et des murul's dans le! golpbe Sainl·Laurent. ns 11rcnt