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100 T. F. l'! f S CASQUE . .le me hitte de revenir en Francc, oll me r:lppcllc mon sujct, et d'cn finir avcc luí. On compte cncorc parrni les pctit.cs récréat.ions 1lc veillécs , In. Juttc corps 1t corps, la main chancle, les jcux de force, le colin– maillard , le jeu de Lcrgcr, csplicc de jcu de tlamcs réduit 3. sa pin.-; simple cxprcssion; le fét.u allumé, que J'on se passe de main en main, el.e. La réunion n'est-ellc composée que de fcmmes et de vieillards, ce sont les chroniqucs du tcmps passé, les ri.ncstions religicuscs, des hist-Oircs de loup-garou et de so1·ccllcric, qui seraient vraiment lamentables si les souvcnirs du paysan ba.-;r¡uc pouvnicut remonter jusqu'au temps <le Louis XIII. Des chandellcs de résiuc éclaircnt l'.UJ'c, ou bien de pctitcs branchcs de sapin y flambcnt en guise de luminairc. L'un des memLres de la famillc en ticnt un íaisecau de la main gauche, tandis que de sa tlroite, armée d'une cspi!ce 1le sabre de bois 1 il émon<lc Lus meches carbonisées. Souvent la maladresse de l'arghi-jmma snllit pour égaycr la Soiréc. Les récréations en picio air sont ; la course, pour laquellc les montagnarrls des Pyréuées out été de tout t.cmps renommés 1, autant au moins que les Brcton~ 2; le saut simple 1 picll'> joiut.s, u.vec ou sans l'aide du L:iton; le Lié ou pctif. jcu de balle; le • Oo voil par un passagc de ltabclais, liv. l, cbap. XXVIII, oñ Grandg:ousit'f CD\'Oie • le &s11ue son !ac11u~ys ri1icrir ~ toute dillgcnce Gar¡;antu~, • 1uc déj~ sous Francols 1e• les Escualdunac éuientemployéspar les classcs ~IevCes l)Our lesserviccsqui ex!gcaicn! del 0 agili1é.- llenri Es1iennc, scnioquantde1Jrorfanteriedrs gensdc eour, donneiro– niqucmcnt ceconseil : • Et r¡uand \'Ouscscrivc1.en quclqucllcu, cncoreqo'il n'y aU qu'uu pclit mol, et qUC\'Ous n'a)·ezaucun porteurexpres, mals mcttlezla lenrecn l:1111iscrieorde du premierqoe\·ousrenconlrerez,si faul-il direque\·ousa,eiflcpcscllCvoslrc lbsquc, qui ,·acomme levent. • (De"x Dialogue$ dv1wuvcau langage fraurois, ilalianisé, etc., sans licu ni dale, in-8º, Jl.517.) - Maurice de la Jlorte,a)'ant donné pour épitl1Nc il /11q11ay les mots Biarnoi.t et Basq11e, ajoutc : • llu pays de Biam vieune11t de3 laquais des plus propres~ courirqu'onS{auroit deinamlcr. •(Lu t:pi/herudeM. de la Porte, l'ari.tieu. ALyon, par Ilenoisl l\igaud, M.D.XCll., pelit in-12, í!llio !3G verso.) - Plus tard, le l'a1·s,ehargédechercher unlaquais!J:1squepourunedamedes~amies,annon(ait enr.es 1ermes ra\'Oir arrélé : • Cnmme je On!ssois ceUc lettre, i! m'a l:le arucné p:ir un de mes amis; je Je trouve fort ~ mon gré, N je eroy qu'i! sera aussi fort ao sien : cu il s~ulc et t1a11se ;i ruerveillcs, •etc. (Amiliez, amo11rs, ti amourtlles, lcttre 11, 11.8.)- Ceue agilité a donné nai,;slnce au proverbe cm1rircommc 1m Basque., que l'on llt da11s une mafarinaJe réimprimée par !'ti. F..dou~rd Fonrnicr, au t. lJI dil ses YariUes hi.tloriqNU et lirltrairts, ¡1. ;);)i. 'Vo.yezlaC/uruem111ieil gro,q11ari1de l'm1liq11iti!,16f.!,1l:ins lcsl'í1rit!lühi1/oriqne1 tl/illtraire11, 1.lll, 1J.56.
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