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D8 LI' rAYS llASQUE. rapidité avec la musiquc; et si le musicicn se tait de fatigue, le danscur saisit d'un bond les deux batons, et son t.riomphe est complet. Du reste, ricn de grossicr, mais ricn non plus de ratriné dans cett.c espCce de dansc, r¡ui offre un coup d'mil t-rCs-ngréablc quaml ceux qui l'exécutent sont nombrcux et bien choisis. L'air en est également gracieux, vif et cntrainaut. Aujourd'hui 1 dans les b3.ls publics, on dansc le mutcliico, ou l'unc de ses dix ou <louze variétés, aprCs chaque trois ou quatrc r¡uadrilles. 11 ne faut plus s'attcudre ay voir ces curés dont parle le Pays; bien loin de mcner le branle, comme dit ce bouffon pla-isant, ils tonncut coulrc ces réunions et cncorc plus cont.rc les danscs étrangCrcs que l'on cherche ay introduirc. lis out surtout ht plus mince opinion des fJlles 'llli montrcnt du goüt et du talcnt pour la d:msc; je l'ai du moius cntcndu chantcr en ces termes : DAN'fZA YAUCIAC, Andre on gutti guertatzenda, lioiz etzaten dironetan , Obetic ezin yaikerazis. Zortzi bP.Ueratziac artean, Jia\acoaren senhar izanon denac Pondua frango galzctan, Eta don faridon , Andre on guW dantzari on; Dantwri ona irule gaichto !rule gaichto, Edalc on, Eta r..lon fnridon Halzco amlrcac Gatzoteaz die 011. LES SAUTS IlASQUES, ll se trouve peu de fi\les bonnes Parmi ce\lps qui se couchent tót Et qu'on ne peut füer du lit Avant huit ou neuf heure:;;. Le mari d'une sr.mblable Aura nQmbre de trous a se;; culotlcs, Et don faridon.