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V cic garb1ena era efcar:i.ric t>hutUe-1 auuespi:odull:ions, qui iní– na. Erran heh.u da lan idor eta pire la piéré & i:auim.c le nekhagani huni lothceac emaren goUt de la venu. Ades nar– d11cb agucriqui eracutfrerat obra ra,tions agr~;obl~sil fait'.uc– huncn. tnold:n~aillcarcn. amod.ioa 1 ceder des rdlex1on~ fol1~e~ berc cfcal herriranen alderat: cu· &. appuyée.s for l a11toute ce¡¡ da gucioc bihllr dior~agun~u· des Pe.res de l'Eg.!ife. Tout re efqucrrac. Attencione haadi.rc - y eft traité avec cene digni– quin iracurri-i~an-dut liburu hatt. té qui convi.ent a la ma– fü.~ait gurerz.at probetchos bcp.in ·¡ jetl:é de la parole de Dieu. <>horecguitecoadchmoldamdue- Enfin cer ouvrage feu.aulfi narcntz.:n. Donib"nen cm:ina , utilc "'" publie. q11'honor;,– oxa11laren hogoi eta feyean,.milla 1 ble i l'auteur qui a cu le ~azpi ehun eta hirur-hogoi·eta ha courage de rentreprendie, mabortzean. · & la paticnce de le fiitir. SAINT-MARTIN, Danibantco Donné 3.,_Saint-Jean-de- Aphera. Luz,k:i.'8 ~évrier 177r. SAINT-MARTIN, Pritre. LA piété & les talcnts du fieur Larrlguy Nous étoient uop connus. pour ne pas bien augurer d'un onvrage qui por– teroit fon nom. · Les cenificats avantagemc qu'en ont donné les ficurs Euhart & Sainr-Martin, pu Nous nornméspourl'exa– ~iner, ont changé nos conieéhues en convill:ion. Un Pcuple qui a tou~urs ignoré tout autre idiOme que le bafque, lir.h pour la premiere fois , avec admiration l'hiitoire de la création de l'homme, avcc douleur ccUC de fa chUte , avcc rcconnoif– fonce celle de fa ré,\emption , & avec une utile confufion ( c'eíl: noue efpoir) celle de fon ingratimde. Non-fculemc11t done Nous pcrmettons au fieur Larrlguy de faire paffcr entre les mo.ins des fidcles de ce dioccfc, le livre en 'ianglte bafque iAti.tW.é ; Ttflamen <;4'1arrteo etaBcrrico Hiflorioa • .M. de Roy&!U-:, Aiij